Ce type de régiment de cavalerie légère, à l'effectif théorique de 851 militaires (44 officiers, 191 sous-officiers et 616 hommes du rang), doté de 259 véhicules divers dont 36 automitrailleuses légères de type Panhard AML-90 et 24 postes de tir MILAN, s'organise donc de la manière suivante :
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un escadron de commandement et de soutien, doté de 79 véhicules divers, à l’effectif de 259 personnels (20 officiers, 103 sous-officiers et 196 militaires du rang) subdivisé en :
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un peloton état-major,
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un peloton de commandement et d’échelon,
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un peloton transmissions,
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un peloton de protection antiaérien doté de 10 canons antiaérien de 20 mm,
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un peloton de protection,
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un peloton ravitaillement carburant et munitions,
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un peloton dépannage, réparation, évacuation,
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un peloton des services,
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un peloton sanitaire.
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trois escadrons de combat, dotés chacun de 40 véhicules divers dont 12 automitrailleuses légères de type Panhard AML-90, à l’effectif de 123 personnels (6 officiers, 23 sous-officiers et 94 militaires du rang) subdivisés en :
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un peloton de commandement,
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un peloton échelon,
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quatre pelotons blindés à trois automitrailleuses légères de type Panhard AML-90 et trois véhicules légers tout-terrain de type Peugeot P4 chacun.
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Un escadron antichars, doté de 60 véhicules divers dont 24 véhicules légers tout-terrain avec poste de tir MILAN, à l’effectif de 163 personnels (6 officiers, 19 sous-officiers et 138 militaires du rang) subdivisés en :
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un peloton de commandement,
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un peloton échelon,
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quatre pelotons de tir à trois groupes de tir soit six véhicules légers tout-terrain avec poste de tir MILAN et un groupe de protection sur camionnette tactique par peloton.
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Mentionnons que le 19ème régiment de Chasseurs « école » est doté quant à lui de quatre escadrons de combat, il ne comporte pas d’escadron antichars. 60 % de ses effectifs sont d'active.
L’arment principal de l’engin appui-feu de type AMX-10RC est le canon de 105 mm à moyenne pression F2 BK MECA L/48. Nous en comptons donc 36 par régiment. La dotation est de 38 obus par engins blindés.
L'armement secondaire de l’engin appui-feu de type AMX-10RC est la mitrailleuse multi-usage de type AANF1 de calibre 7,62 mm qui est monté à gauche de l'armement principal. La dotation est de 4000 cartouches par engins. Une deuxième mitrailleuse multi-usage de type AANF1 de calibre 7,62 mm est opérée sous blindage depuis l'intérieur sur le tourelleau du chef de char.
L’arment principal de l’engin appui-feu de type Panhard ERC-90 Sagaie est le canon de CN90 F1 de 90 mm. Nous en comptons 36 par régiment. La dotation est de 20 obus par engins blindés.
A l’image de l’engin présenté supra, l'armement secondaire de l’engin appui-feu de type Panhard ERC-90 Sagaie est la mitrailleuse multi-usage de type AANF1 de calibre 7,62 mm qui est monté à gauche de l'armement principal. La dotation est ici de 2000 cartouches par engins. Une deuxième mitrailleuse multi-usage de type AANF1 de calibre 7,62 mm est opérée sous blindage depuis l'intérieur sur le tourelleau du chef de char.
L’arment principal de l’automitrailleuse de type Panhard AML-90 Sagaie est le canon de 90 mm GIAT F1. Nous en comptons 36 par régiment. La dotation est de 21 obus par engins blindés.
L'armement secondaire de l’automitrailleuse de type Panhard AML-90 Sagaie est la mitrailleuse multi-usage de type AANF1 de calibre 7,62 mm qui est monté à gauche de l'armement principal. La dotation est de 2000 cartouches par engin.
Passons maintenant aux caractéristiques techniques :
| AML-90 | AMX-10RC | ERC-90 | |
| Année d'introduction en service | 1960 | 1980 | 1984 |
| Équipage | 3 (conducteur, tireur et chef d'engin) | 4 (pilote, tireur, chargeur, chef d'engin) | 3 (conducteur, tireur et chef d'engin) |
| Longueur de la caisse (mètres) | 5,11 | 6,24 (9,15 avec le canon) | 7,7 (avec tourelle TS90) |
| Largeur (mètres) | 1,98 | 2,78 | 2,50 |
| Hauteur (mètres) | 2,11 | 2,56 | 2,25 |
| Masse au combat (tonnes) | 5,5 | 15,8 à 16,6 | 8,3 |
| Moteur | Panhard modèle 4 HD 4-cylindres refroidi par air | Hispano-Suiza HS-115 polycarburant | Peugeot V6 essence |
| Puissance (ch) | 90 à 4700 tr/min | 250 | 155 |
| Suspension | - - - | oléo-pneumatique à garde au sol et assiette variable | ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques |
| Vitesse sur route (km/heures) | 90 sur route | 85 sur route 40 en tout terrain | 90 sur route 40 en tout terrain |
| Puissance massique (ch/tonnes) | 16,4 | 16,67 | 18.7 |
| Réservoir (litres) | - - - | 525 | 242 |
| Autonomie (km) | 600 | 500 | 730 |
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C - UNITÉ DE RECONNAISSANCE STRATÉGIQUE :
Nous n'apporterons pas d'éléments nouveau quant à ce régiment qui a déjà été présenté dans le cadre des pages dédiées aux éléments organiques de la 1ère armée.
| Unités | Garnison | Rattachement | Chef de corps |
| 13ème régiment de Dragons parachutistes | Dieuze | Élément organique de la 1ère armée | Colonel HUCHER DE QUENETAIN |
Cette unité issue par tradition de l’arme blindée cavalerie, désormais régiment d'appui et de recherche dans la profondeur, assure la reconnaissance et la recherche du renseignement par moyens humains en tout temps et en tout lieu.
Cependant, ce régiment est un instrument des plus exhaustif quant à la recherche du renseignement car il pénètre en profondeur dans les lignes adverses de par l'action de plus de soixante unités de type « commando » indépendants les uns des autres agissant sur un front théorique de 300 km.
En temps de guerre le régiment est à l'effectif de 1 140 hommes (80 officiers – 250 sous-officiers et 810 hommes de troupes).
Cette unité interarmes (45% de cavaliers, 17% de fantassins, 9,5% de transmetteurs, et de 3 à 5% de l'artillerie, du génie et du service de Santé) rattachée à l’armée blindée cavalerie comprend :
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un état-major,
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un escadron de commandement et des services,
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1er et 4ème escadrons de recherche en profondeur,
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2ème et 3ème escadrons d’instruction.
